Chromaphyo
Le 20 janvier 2011 à 13h04 pascal17
a écrit le
20 janvier 2011 à 09h41 D'accord pour l'Aphanius fasciatus, parce que le biotope naturel fait déjà l'objet de mesures de conservation qui empêchent, limitent ou au moins retardent sa dégradation. Il vaut toujours mieux dans ce cas prélever dans le milieu naturel pour réintroduire ailleurs dans un environnement protégé. Mais que faire lorsque ce biotope naturel, en Afrique, en Amazonie ou ailleurs, est en passe d'être totalement détruit et qu'aucune protection n'existe ou n'est sérieusement envisageable?
Effectivement, il n'y a que les killiphiles qui peuvent alors maintenir tant qu'il peuvent une population détruite dans la nature.
On l'a observé pour[i] S. constanciae [/i]qui avait disparu (on le croyait) du milieu naturel jusqu'à ce qu'on le retrouve.
Les exemples sont nombreux ([i]S. boitonei, S. marginatus, S. myersi,[/i] etc ...) où les espèces n'ont qu'une répartition géographique très restreinte et sont menacés par l'urbanisation, la pollution, etc ...