Plus simple non.
Plus facile et plus rapide oui:
1) Abandonner la tourbe et utiliser de la fibre de coco en brique.
2) Je ne fait pas bouillir la fibre de coco mais elle peut macérer plusieurs mois dans l'eau de pluie. Il faut ensuite la laver abondement.
3) [b]Tamiser la fibre avec un grillage aux mailles de 2 mm.[/b] Je le fait dans l'eau. Mon tamis est un panier à frite (de pros) récupéré dans une solderie.
4) Reverser la fibre tamisée dans un seau fermé. Après un stockage long, il m'arrive de la relaver.
5) Garnir les pondoirs
6) Au moment de la récolte, essorer la fibre et les œufs en la pressant fortement dans un filet aux mailles fines.
7) Déposer la récolte dans une boite propre, [b]la brasser abondement pour que les œufs se répartissent équitablement.[/b]
8- Prélever une partie de la fibre, si les œufs sont abondants en retirer 2 grammes pour 50 grammes de récolte, si les œufs sont rares, en retirer davantage.
9) [b]Tamiser le prélèvement dans l'eau avec un grillage aux mailles de 1 mm[/b] (tamis de cuisine en plastique).
10) Sécher ce qui reste dans le tamis, les œufs sont comptés en quelques minutes, avec une règle de trois il est ensuite facile d'évaluer la quantité d’œufs dans la récolte.
Lorsque la densité des œufs est faible il est possible de tamiser la totalité de la récolte. Les œufs sont faciles à voir et à compter dans ce qui reste sur le fond du tamis.
[b]Quelque soit la méthode, il est toujours plus difficile de trouver les œufs dans de la fibre humide.[/b]
Cette méthode fonctionne parfaitement avec les : Austrolebias, Hyphsolebias, Spectrolebias, etc...
Pour les : Neofundulus, Trigonectes, Moema .... les particules de fibres adhérents à l’œuf, il est très difficile parfois impossible de voir les œufs, il faut les repérer au toucher.