hador
a écrit le
18 octobre 2018 à 00h47 Chez moi, si le granulé gonfle c'est dans l'estomac du poisson, j'essaye de ne pas avoir de restes qui puissent pourrir au fond. Du coup l'eau qui gonfle le granulé est interne, ce qui nécessiterait au pire une osmorégulation, pareille à tout bol gastrique.
En prenant même un taux d'humidité, même légèrement supérieur à ce qui est indiqué sur la boite, le "sec" aura toujours une richesse relative supérieure puisque presque sans eau par rapport au vivant.
D'où ma réflexion sur la disponibilité et le distributeur automatique.
Avant d'aller plus loin, je signale que je suis agronome avec pour spécialité l'agro-alimentaire.
J'essaye simplement de critiquer l'un et l'autre. J'expérimente au mieux avec mes moyens
J'ai également des daphnies, enchytrées et artémias disponibles et utilisées.
Du coup, en tant que qualiticien, J'ai peine à croire, que pour la maintenance et production d’œufs, le sec ne soit pas en quantité relative supérieur au vivant à la même fréquence (du point de vue du poisson)
Que le débat se porte sur le process de fabrication du sec est justifié, mais que le sec soit proscrit me semble une aberration.
Le vivant est plus diversifié, en terme d'apports, que le sec, ne serait-ce que par les process de fabrication qui éliminera les composés sensibles à la chaleur ou à l'oxydation. Mais de ce que j'en sais, cela n'aurait d'effets concrets que sur la descendance.
Tout cela pour dire, d'autant que je puisse en conclure, que le vivant est le plus aisé; amenant le meilleur rapport temps investi/reproduction que le sec à intervalle égal. Je n'en demeure pas persuader qu'en concentrant le nutritif, comme dans du sec, les résultats seraient meilleurs.
Il reste à explorer la digestibilité, mais cela j'en ai encre moins les moyens.